PSYCHOTHÉRAPIE TRANSGÉNÉRATIONNELLE

PARLER PSYCHOGÉNÉALOGIE, C’EST PARLER FAMILLE…

… c’est parler des lignées familiales et de ce dont nous avons hérité émotionnellement et énergétiquement.

En effet, loin de n’avoir reçu que les caractéristiques biologiques de nos ascendants, nous sommes tous porteurs de mémoires émotionnelles, de blocages, de missions que nous devons mettre en lumière pour vivre en pleine conscience, enfin libre d’être soi… 

➜ La Loyauté Familiale

QU’EST-CE QUE CELA SIGNIFIE ?

Cela veut dire que qui que nous soyons, où que nous soyons né, nous sommes tous et toujours choisi par notre lignée pour réparer, guérir ou poursuivre un objectif défini bien au delà de nous-même, de nos parents ou de nos grands-parents…

Tout cela est bien entendu parfaitement inconscient même si, un regard aguerri en observera certains indices…

Tout ce que nous savons aujourd’hui, nous l’avons découvert de manière empirique. C’est en écoutant, en analysant, en cherchant que nous avons découvert que les histoires se répétaient, que les machines s’enrayaient et que nous portions tous (certains plus que d’autres) des bagages qui ne nous appartenaient pas.

Le fil rouge de tout cela est la loyauté familiale (ou la fidélité familiale invisible). Sans en avoir conscience, nous répondons à l’injonction imposée par notre arbre généalogique…

➜ Le Génosociogramme

COMMENT PROCÈDE-T-ON ?

Pour travailler en psychogénéalogie, on commence par écouter le consultant parler de son histoire et de celle de sa famille (les anecdotes, les légendes, les valeurs, les expressions familiales…).

On dresse alors un arbre généalogique codifié (le génosociogramme) sur lequel on note les membres de la famille, les prénoms, les dates, les métiers, les grands moments de vie, et on l’observe en prenant de la hauteur.

Le génosociogramme permet donc de déterminer le fonctionnement des systèmes en place, de comprendre les règles tacites de la famille. En le faisant et en parlant de sa vie, le sujet se situe dans « une perspective transgénérationnelle ». Il part à la recherche de ses racines et de son identité. Il s’agit ici d’un formidable outil de connaissance de soi, de sa famille et des répétitions familiales invisibles. En faisant face «aux obligations et à la culpabilité devant les dettes émotionnelles impayés », l’individu peut ainsi trouver sa place, et faire des projets de vie personnels.

Il s’agit d’une véritable enquête, qui permet de découvrir ses racines, ses motivations et de constater lorsque nous suivons des rêves qui ne sont pas les autres… L’idée n’est pas de rejeter ce que la lignée attend de nous mais de le transcender.

Les Prénoms racontent toujours une Histoire...

  • Un Jean, nous indique qu’un enfant est mort dans la fratrie ou dans celle du dessus (Jean anagramme d’ange)
  • Tout comme une Sylvie, ou un Sylvain, Maurice.
  • Dans Sandra il y a cendre . Qu’est-ce qui a été perdu par le feu ? Qui est mort brûlé ou qui a été incinéré alors que cela n’était pas autorisé ?
  • Les Louis nous ramène la richesse lorsque la famille l’a perdu (les louis d’or).
  • Nicole : colle au nid… “ne pars pas” : bâton de vieillesse…
  • Pascale : “Cale ton pas”… injonction de loyauté – faire comme le père, ne pas trahir la famille. 
  • Dans Sylvie : Si il vit.
  • Sylvain : S’il vint.
  • Maurice : Mort ici…

Nous irons aussi jeter un oeil du côté des Saints qui portent notre prénom :

  • Eric, défenseur de la cause féminine
  • Catherine : Mémoire de catin

L’étymologie peut aussi donner des indications :

  • Cécile : cécité… Qu’est ce qu’on doit voir ou ne pas voir dans la lignée ?
  • André : L’homme debout.. qui ne l’était pas ?

➜ Que chercher ?

QUELLES SONT LES PROBLÉMATIQUES QUE NOUS RENCONTRONS ?

Les secrets de famille autour de la perte d’argent, des maladies sexuellement transmissibles, des naissances hors mariage, des maladies mentales…. Ce qui, sorti de son contexte historique, nous paraîtrait presque anecdotique mais qui ne l’était pas à l ‘époque…

Mais au delà de cela ce sont les traumatismes émotionnels, les décès non admis qui laissent le plus de traces.. Les deuils injustifiés/injustifiables… les mort d’enfant en bas âge, les enfants mort nés et / ou non nommés, le mari mort à la guerre, le fils, la jeune fille morte en couche… Tous ces morts qui n’ont pas trouvé leur place et nous sommes souvent là pour porter leur mémoire, pour poursuivre ce qu’ils n’ont pas pu accomplir.. et de fait, nous ne pouvons pas vivre notre vie…

« L’identité se forge à partir de l’histoire propre de chacun – de son histoire familiale comme de son histoire personnelle, toutes deux liées au contexte historique et il vaut mieux la connaître que la subir passivement »

Anne Ancelin

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