LA CRISE D’ANGOISSE

LA CRISE D’ANGOISSE

Elle se tapit dans l’ombre, elle nous attaque sournoisement….
Parfois elle nous frôle uniquement, on ne perçoit que son souffle glacial dans notre nuque …
Lorsqu’elle se fait plus présente, elle nous caresse délicatement, puis son contact devient de plus en plus insistant jusqu’à l’étreinte étouffante. Là, elle se transforme :
d’angoisse elle devient PANIQUE !

La crise d’angoisse est comme une copine hystérique et perverse :
Sans prévenir parfois, elle monte dans les tours, se jette au sol en tapant des poings et des pieds, sans que l’on comprenne ce qui se passe devant nous. Une vraie Drama Queen !! Et pourtant, elle tentera toujours de nous faire croire que c’est pour notre bien, qu’elle ne fait que nous prévenir d’un danger immédiat…

Parce que la crise d’angoisse c’est ça ! Un signal de notre inconscient qu’un danger nous guète… Un signal souvent inapproprié et disproportionné.

Comprendre ses mécanismes, avoir quelques solutions pour l’apaiser et ne pas se laisser abattre : On fait un petit point ensemble en vidéo pour mieux l’appréhender

Et quelques audios pour la désamorcer >>

HONTE ET CULPABILITÉ

HONTE ET CULPABILITÉ

HONTE ET CULPABILITÉ

Elles déboulent souvent ensemble mais pas que.
Elles frappent à la porte sans prévenir et sans être invitées.
Elles s’incrustent, elles squattent et … elles saoulent !

Elles ressassent le passé, décortiquent tous nos faits et gestes, elle nous font douter de ce que l’on a compris, entendu, dit, fait ou même pensé ! … Et on a beau essayer de les mettre à la porte, elles rentrent par la fenêtre !

HONTE n’a aucun sens de l’humour. C’est Mamie Huguette qui critique ce que nous avons osé faire, dire ou même penser. Elle dramatise tout et nous accable, nous faisant largement douter de notre valeur. Sa principale préoccupation : le « qu’en dira-t-on », l’image que nous avons de nous et celle que nous créons auprès des autres. On est loin de Grand-mère Yetta dans Une nounou d’enfer ! C’est plutôt Mme Olson dans La petite maison dans la prairie… en plus lourde !
Elle nous donne envie de nous cacher sous terre, de disparaître.
Elle nous donne le sentiment de ne pas être à la hauteur / dans les clous / crédible / etc. C’est la Honte quoi !
Pour la minute culturelle, Honte vient de « honnir » : Vouer à la haine et au mépris publics de façon à couvrir de honte – humilier quoi. On sent bien l’idée qui se cache derrière : l’humiliation face aux autres, le risque d’être exclu.

CULPABILITÉ est sournoise, et nous rappelle à son bon souvenir dès qu’elle en a l’occasion. Et quand elle s’est bien installée chez nous, elle a tendance à appeler une de ses meilleures potes qui rapplique pronto : Angoisse.
Culpabilité est aussi agréable que le Père Francis qui n’en rate pas une pour nous sermonner. Quoi que nous ayons fait, c’est mal ! Son projet : nous remettre dans le droit chemin parce que visiblement, nous avons marché sur une pelouse interdite.

AFFECTS TOXIQUES ?

Toutes deux ont un objet – somme toute – assez important : elles nous rappellent à l’ordre. Au départ, elles sont censés nous informer de ce qui se passe en nous, et elles sont franchement désagréables pour que nous prenions en compte le message.

Elles jouent un rôle régulateur de la vie en collectivité : elles posent des limites en nous empêchant de faire n’importe quoi. Elles indiquent que nous avons bien conscience de nous, de nos comportements et permet de régler la distance entre nous et les autres.
Elles nous invitent à modifier ou à corriger notre comportement. Elles peuvent être un levier pour nous pencher sur nos erreurs.

Mais ça, c’est quand tout va bien…

Parce que malheureusement, si elles prennent leurs aises, qu’elles sont insistantes et omniprésentes, il est possible qu’elles soient devenues pathologiques.

La honte et la culpabilité peuvent être des sentiments destructeurs. De réelles punitions émotionnelles constantes qui aggravent la situation plus qu’elles ne l’améliorent et attaquent profondément l’estime que l’on a de soi et notre confiance.

On dit qu’elles sont pathologiques quand :
– elles nous dominent et ce, durablement,
– elles provoquent une souffrance psychique intense, trop fréquemment,
– elles sont assez forte pour créer de la souffrance mais pas assez pour modifier notre comportement,
– elles sont inappropriées,
– ou totalement absentes (oui ça peut être un vrai problème aussi ça !).


FOCUS SUR LA CULPABILITÉ

Il s’agit d’un mécanisme d’autocritique, une auto-évaluation associé à notre système de croyance qui apparait lorsque nous avons transgressé un principe, une valeur à laquelle nous croyons. Quand la culpabilité pointe le bout de son nez, c’est que nous n’avons pas respecté les règles du jeu. Alors entre en scène notre petit Juge intérieur – rarement objectif (difficile d’être juge et partie) – qui prend un plaisir sadique à nous flageller !

Mais de quelles règles s’agit-il ? Parce que c’est bien la question que nous devons nous poser ! Notre système de croyance (ou de valeur) ne nous appartient pas totalement. Plus exactement, il est le fruit de notre environnement social, de notre éducation, de notre expérience mais il est aussi le descendant direct du système de croyance de nos parents et de notre famille…

Déculpabiliser

Commençons par identifier la règle que l’on a transgressée en revisitant nos système de croyance puis interrogeons-nous sur le bien-fondé de cette règle : est-elle licite ou obsolète ?
Si elle est toujours d’actualité : comment faire pour rattraper mon erreur et éviter une nouvelle transgression ?
Enfin, s’accorder le droit à l’erreur…


Et si cela n’est pas suffisant ?

C’est le bon moment pour aller voir un thérapeute.
Son rôle sera de vous aider à faire le ménage dans votre système de croyance et à en découvrir l’origine. En fonction de ce que vous découvrirez ensemble, vous pourrez effectuer quelques mises à jour salvatrices pour fermer le clapet de Mamie Huguette et/ou du Père Francis. Cela vous permettra également de faire le point sur VOS valeurs et VOS principes, et à adapter vos comportements de façon à ce qu’ils soient en adéquation avec VOTRE système de croyance.

Pour vous aider

Ci-dessous une petit méditation guidée pour faire le point sur votre culpabilité et un petit topo vidéo qui reprend tout ce que vous venez de lire mais pas que… (Merci Père Francis !)

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ON S’EST TOUS POSÉ LA QUESTION UN JOUR  !

 

Alors on regarde autour de soi, on se compare aux autres, on est soulagé (ou pas) en discutant avec les copines, mais on n’arrive jamais à être vraiment rassuré quand il s’agit de choses que l’on n’ose pas partager avec les autres…

 

LA NORMALITÉ, C’EST QUOI ?

 

Il est bien difficile de donner une définition de la normalité. Parler de normalité, c’est faire référence à une norme, elle-même faisant loi et foi ! La norme, c’est ce qui désigne quelque chose d’habituel. Définir la normalité en psychologie, c’est aussi l’opposer à la pathologie et aux comportements pathologiques.

Une fois de plus, il y a plusieurs définition de la normalité en fonction de l’approche que l’on en a.

 

La normalité sociale :

 

Chaque société a ses propres « normes » en matière de comportement. Cela délimite ce qui est acceptable de ce qui ne l’est pas. La normalité sociale fait donc référence aux règles éthiques, sociales, culturelles d’une société donnée. 

Est donc considéré comme normal l’individu qui s’adapte à son environnement et aux situations et anormal un individu au comportement qui s’écarte de tout ce qui est « standard ». Cette définition revient à standardiser l’être humain. Il suffirait donc d’être bien adapté socialement pour être considéré comme « normal ». Or les psychopathes sont en général très bien adaptés à leur environnement.

“Salut, je m’appelle Teddy, vous voulez un cookie ?”

Prenons l’exemple de Ted Bundy (1946-1989 , tueur en série américain des années soixante-dix). Décrit comme un bel homme, aimable et empathique, il a été diplômé en psychologie, a travaillé dans un centre pour suicidaires à Seattle et a participé à la campagne présidentielle de Nelson Rockefeller. Bonne intégration donc dans les institutions sociales : universitaire, professionnelle et politique. Il a également fréquenté Ann Rule (ancienne policière et romancière sur les tueurs en série) lorsqu’il travaillé à Seattle, et celle-ci n’a jamais trouvé le comportement de Bundy anormal. C’est pourtant l’un des psychopathes les plus connus de notre temps avec enlèvements, viols, meurtres et actes de nécrophilie sur plus de trente victimes.

La normalité sociale peut donc masquer certaines personnalités et comportements. Elle prend le risque de faire passer des attitudes passives de soumission silencieuse (ou l’inverse, comme dans le cas de Ted Bundy) comme adaptées alors qu’elles peuvent cacher de réelles pathologies.

D’après Marianne RONVAUX (psychanalyste française), «les individus qui miment le mieux la normalité sont les schizophrènes » et pourtant, ils s’inspirent une vraie crainte à la population du fait de l’image qu’en ont relayé les médias.

Selon BERGERET (médecin et psychanalyste français), « si la normalité devient relative à un idéal collectif, on ne connaît que trop bien les risques courus, même par des majorités, dès qu’elles se trouvent réduites au silence par ceux qui se croient ou s’adjugent la vocation de défendre par la force ledit idéal. »

Comme le dit Edouard ZARIFIAN (1941-2007), psychiatre et psychothérapeute français : « Mais où est donc l’étalon référence ? Il n’existe pas de norme en soi mais seulement un consensus du groupe culturel sur ce qui est un comportement normal et ce qui est un comportement déviant ».

La définition est relative à l’époque et au lieu …

Cette approche est plus que variable. Puisque la « norme » se réfère à des critères socioculturels donnés, elle dépend de la société et de l’époque à laquelle elle a été établie.

Prenons l’exemple de la masturbation :

Au XVIII et au XIXes siècles, de nombreux médecins et sexologues considéraient l’autoérotisme comme un comportement anormal, une pathologie. A la fin du XXe siècle, les scientifiques ont affirmé que la masturbation était un comportement biologique normal, relevant du «comportement érotique». En stimulant ses zones érogènes, l’individu stimule le centre de récompense-renforcement du cerveau et accède au plaisir.

Un truc qui pouvait vous faire finir sur le bûcher quoi ! Bon, on est d’accord, on sait aujourd’hui que la masturbation c’est “normal” mais on évite dans la file d’attente du supermarché 😉

La normalité statistique :

La normalité statistique est une référence à la normalité sociale puisque la norme définie est la même. Les goûts, les croyances, les comportements ne sont normaux que s’ils sont partagés par la majorité de la population donnée.

La norme devient la majorité.

Les individus normaux sont les individus dans la moyenne.

Les individus déviant légèrement peuvent être considérés comme marginaux ; ceux qui s’en écartent réellement peuvent être des individus pathologiques.

Le risque de cette approche : c’est la fausseté des résultats.

Un phénomène peut être fréquent ET pathologique (comme mettre des chaussettes avec des claquettes par exemple- bon ok ce n’est pas pathologique mais c’est vraiment très laid ! ) . Il est difficile de faire des statistiques sans marge d’erreur sur les comportements humains.

Pour résumer, la normalité définie par les sociétés et les époques auxquelles elle a été définie est subjective et variable, empreinte de moralité et très souvent d’idéaux religieux mais rarement, voire jamais, de fondements scientifiques. 

Finalement, cet idéal peut engendrer des pathologies. 

Dans son livre «Plaidoyer pour une certaine anormalité», la psychanalyste anglaise Joyce MCDOUGALL reprend la notion de « faux-self » de Donald WINNICOTT  (1896-1971 – Pédiatre, psychanalyste et psychiatre anglais). 

Le « faux-self » est toute la façade de personnalité que développe un individu pour répondre aux contraintes exercées sur lui. Il met en avant tous les comportements sociaux qu’on attend de lui, ce qui le protège des angoisses et des agressions. Joyce MCDOUGALL présente la notion de NORMOPATHIE : c’est une rigidité psychique qui dissimule un chaos intérieur. L’individu est hyperadapté, il réprime ses élans et ses émotions de crainte d’être aspiré par un torrent pulsionnel et irrépressible.

DE LA MORALE À LA PSYCHOLOGIE

La normalité fonctionnelle : la normalité représente alors l’épanouissement psychologique et le fonctionnement optimal des composantes d’un individu. Elle se fonde alors sur les caractéristiques psychologiques qui lui sont propres.

En psychologie clinique, la notion de normalité prend également en compte l’individu dans sa globalité : son contexte socioculturel, son histoire, sa famille… Il est essentiel de comprendre la personnalité et de mettre à jour sa structure. L’état normal est celui approprié à un individu donné avec ses caractéristiques et ses buts. Il y a pathologie lorsque apparaît une diminution des capacités d’adaptation et de création. 

 « L’individu est à lui-même sa propre norme ».


    Henri Wallon

 

La nosographie (science des classifications des maladies) propose la définition suivante des troubles mentaux dans le DSM-IV :

« Syndrome psychologique ou comportemental significatif sur le plan clinique qui survient chez un individu et qui est associé à une véritable douleur (ex: symptômes douloureux), à une incapacité (ex: détérioration d’une ou plusieurs zones importantes de fonctionnement) ou au risque accru de connaître la douleur, l’inaptitude, une perte importante de liberté ou la mort. »

Il est finalement plus simple de donner une définition à un comportement pathologique qu’au terme de normalité !

David BUSS (professeur en psychologie à l’Université du Texas) propose une définition intéressante selon trois critères :

– L’inconfort. C’est ce qu’exprime la personne verbalement, l’état de souffrance qu’elle vit et sa détresse personnelle.

– La bizarrerie. Décrite par l’entourage. Les déviations par rapport aux standards acceptés de comportement : comportement exceptionnel, extrême, inhabituel et persistant dans le temps.

– L’inefficacité. Qui est la conséquence des troubles, mentionnée par l’individu et son entourage. L’incapacité d’un individu à faire certaines choses que ses compétences et ces capacités rendraient possibles.

Pour résumer la normalité en tant que référence à une norme N’EXISTE PAS, car la norme n’existe pas. Pour reprendre les mots de Marianne RONVAUX :

«La normalité n’existe pas. Au risque de choquer, une personne normale est une personne normalement névrosée (…) Disons que c’est être capable de se soucier des autres tout en sachant s’occuper de soi, c’est être capable de supporter les changements, même déstabilisants, sans s’effondrer, parvenir à canaliser ses pulsions sans trop de frustration. Mais il est normal aussi de peiner à y parvenir. »

Bon, vous êtes rassurés ?

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